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Dziriya devient Dzirielle : le magazine de la femme algérienne depuis 2003 !

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Divorce en Algérie en 2025 : miroir d’une société en pleine recomposition

240 divorces par jour. Derrière ce chiffre brut, se dessine une nouvelle Algérie. Une société qui interroge ses fondements, reconfigure ses rôles de genre, redéfinit le couple et, par extension, la cellule familiale. Plus qu’une crise du mariage, c’est une mutation culturelle profonde qui s'opère – silencieuse, mais irréversible.

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Le Sarouel Algérien et son Influence sur la Haute Couture Occidentale

Le sarouel algérien – ce pantalon bouffant chargé d’histoire – traverse les siècles tel un pont de velours entre l’Orient et l’Occident, entre le patrimoine d’hier et la haute couture d’aujourd’hui. Symbole de confort et d’élégance, il a habillé sultans et mariées, inspiré peintres et couturiers. Cet article invite à un voyage stylistique : des origines ancestrales du sarouel en Algérie aux podiums contemporains, en passant par son rôle dans la tenue traditionnelle du karakou algérois et ses réinventions audacieuses par les créateurs occidentaux.

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Contrefaçon du karakou : quand le patrimoine algérien est reproduit à bas coût en Inde

Le karakou algérien, joyau du patrimoine vestimentaire maghrébin, est aujourd’hui confronté à une vague alarmante de contrefaçons venues d’Inde. Ce phénomène, loin d’être anecdotique, est alimenté par une logique purement lucrative portée par certaines negafa peu scrupuleuses, prêtes à sacrifier l’authenticité sur l’autel du gain rapide. Plus inquiétant encore : des sociétés indiennes se sont désormais implantées directement sur le sol algérien, notamment à Oran, brouillant davantage les repères entre création locale et production délocalisée. Il suffit de taper le mot "karakou" sur Google pour mesurer l’ampleur de cette dérive : une profusion de sites de vente en ligne proposent des modèles fabriqués en série, souvent à bas coût, dépourvus de toute mention d’origine ou d’engagement artisanal. À l’heure où le digital façonne notre rapport au vêtement, une question s’impose : que reste-t-il du geste du maâlem, de la noblesse du velours, du fil d’or cousu main ? Face à cette standardisation silencieuse, préserver l’âme du karakou devient un acte de résistance culturelle. Dzirielle magazine mène l'enquête !

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