
Coquillage · 6 mars 2014 à 08:36
Quand la nuit devient un tombeau de pensées, sombre et froide et ou les démons sont déchainés, mes yeux rivé au plafond, que vois-je déssiné ? Rien ! un néant qui m’envahie, mon ame est meurtrie, je ferme les yeux et je pense à lui, que-ce ce sentiment ? De l’espoir je le nommerai ! Une larme m’échappe, traverse mon visage pour terminer sur mon oreillé, elle était douce, elle était brulante, elle me réchauffe malgré la froideur de cette nuit qui ne veut s’achevé, de l’espoir j’ai dit, quand son je t’aime résonne encore au creux de mon oreille, son je t’aime me frisonne, me réveille, mes yeux rivé encore au plafond, que vois-je dessiné ? Son visage ! Mon tombeau s’illumine ! que-ce ce sentiment ? De l’amour je dirai. La nuit céde sa place, au loin, l’horison prend des couleurs, c’est enfin le jour ! La lune cedera sa place au soleil, le noir à la lumiére.