lecteur · 16 novembre 2014 à 14:19
A vous ces vers de par la grâce consolante De vos grands yeux où rit et pleure un rêve doux, De par votre âme pure et toute bonne, à vous Ces vers du fond de ma détresse violente.
C’est qu’hélas ! le hideux cauchemar qui me hante N’a pas de trêve et va furieux, fou, jaloux, Se multipliant comme un cortège de loups Et se pendant après mon sort qu’il ensanglante !
Oh ! je souffre, je souffre affreusement, si bien Que le gémissement premier du premier homme Chassé d’Eden n’est qu’une églogue au prix du mien !
Et les soucis que vous pouvez avoir sont comme Des hirondelles sur un ciel d’après-midi,
- Chère, - par un beau jour de septembre attiédi.
bonjour lecteur
bievenue parmi nous.
svp pr votre information les titres doivent etre ecris en miniscule.
merci pr votre comprehension.
magnolia.
