Je compati parfaitement à votre douleur, à mon avis il faut prendre un temps ferme, et lui faire parvenir ce message « il est temps de prendre conscience que ceci est un ménage qui couve une vie de famille, ceci n’est pas un ring de box, je suis ton époux et non ton punching-ball, ce petit garçon est notre fils, un être plus vulnérable que toi et que je protégerai par tout les moyens, la prochaine fois que tu lèveras la main ou manquera de respect à mon égard, et l’égard de ce que je tends de construire, j’appellerai le service de protection de l’enfance, la gendarmerie et l’hôpital psychiatrique car quand on s’estime désaxé, on ne fonde pas un foyer, encore moins faire un enfant, ceci étant les nouvelles règles de cette maison, je te donne l’alternative d’obtempérer ou de refuser et là tu me perdras à jamais et notre fils aussi » car croyez moi Monsieur quand on veux se donner la mort on se rate pas, maintenant si c’est sa manière de vous assigner à vous incliner comme vous le faites déjà croyant bien agir ainsi, et parfois, un électrochoc est meilleur remède dans de tel cas.
Je craint que l’idée du psy ne vous enfonce davantage, je m’explique, admettant qu’elle accepte de voir un spécialiste, et bein à chaque retour de séance, elle sera abattue mal parce que cela lui a fait rappeler tel ou tel fait douloureux du passé, elle aura un motifs pour ses crises de nerfs, oui parce que le psy a mit le doigt sur la blessure du passé et tralalitralala et ca en fini plus. Pour info, il est interdit au psy de proscrire des medoc, un psychiatre oui.
Allahou a3lam, ca reste mon optique .
Bonne chance Monsieur