Divorcée depuis plusieurs mois, l’actrice algérienne Lilia Bouyahiaoui avait officialisé la rupture en décembre 2024, mettant ainsi un terme aux nombreuses spéculations de ses fans. Lors d’une session de questions-réponses sur Instagram, elle a répondu avec pudeur et sincérité, livrant une réflexion lucide sur la vie après le divorce, loin de tout sensationnalisme.
Un mariage éclair avec Tarek, un boxeur installé en France, scellé en janvier 2021 après une idylle née en plein confinement. De cette union intense mais brève, sont nés deux enfants, aujourd’hui au cœur des priorités de Lilia Bouyahiaoui.
À la question frontale : « Tu envisages de te remarier ? », Lilia Bouyahiaoui a répondu sans détour, avec une fermeté empreinte de tendresse : « Non, jamais de la vie. Je vis pour mes enfants. »
Depuis l’annonce officielle de sa séparation, Lilia Bouyahiaoui a fait un choix clair : celui de placer ses enfants au centre de sa vie. Dans d’autres réponses à cette session de questions posées par ses abonnés, elle livre des confidences empreintes de sérénité et de profondeur, assumant pleinement cette nouvelle page de son existence.
« Ce n’est pas une erreur, c’est un choix personnel. Je préfère être disponible pour mes enfants, les élever, les respecter, leur offrir de l’amour et toute l’attention possible. Je veux aussi prendre soin de moi, de ma paix intérieure, de mes projets et de mon équilibre. Le mariage, pour moi, ne m’apportera rien de plus. Au contraire, il risquerait de me priver de ce que je donne aujourd’hui à mes enfants et à moi-même. »
Interrogée également sur la manière de reconnaître l’homme idéal, l’actrice a livré une réponse d’une justesse rare :
« Choisis un homme qui respecte les femmes dans leur globalité. Quelqu’un qui te valorise, te protège, t’honore. Il faut qu’il y ait une entente intellectuelle, un cadre commun de valeurs, d’éducation et de culture. L’argent ou les apparences n’ont pas d’importance. Ce qui compte, c’est la fondation : la mentalité, les principes, et ce qu’il est capable d’apporter à tes enfants et à toi-même. »
En refusant la pression implicite à « refaire sa vie », Lilia Bouyahiaoui incarne un contre-modèle puissant. Celui d’une femme qui n’a pas besoin de se définir par une nouvelle histoire d’amour pour exister pleinement. Elle avance avec ses priorités — elle multiplie d’ailleurs les projets professionnels avec brio — avec lucidité et courage, sans renier son passé, mais sans lui permettre de dessiner les contours de son avenir.
Son message résonne particulièrement en Algérie, où les femmes divorcées sont encore trop souvent réduites à un statut ambigu, voire suspect. Pour beaucoup, divorcer, c’est devoir se justifier : auprès de la famille, des voisins, de la société. Et si des enfants sont en jeu, le jugement devient plus dur encore. « Elle est seule, donc vulnérable » ; « elle ne pourra pas gérer » ; ou pire, « elle est à reprendre ». Autant de phrases assassines entendues par celles qui, justement, ont eu la force de partir pour se reconstruire.
Mais reconstruire quoi ? Pour certaines, cela passera par un nouveau couple. Pour d’autres, comme Lilia, il s’agit simplement de se retrouver, de se recentrer sur ses enfants, sur soi, sur l’essentiel. Élever seule ses enfants en Algérie, c’est une épreuve invisible : isolement, absence de soutien, charges mentales écrasantes, et souvent, des démarches administratives rendues complexes par le statut de femme seule.
Dans ce contexte, voir une personnalité publique comme Lilia assumer sa maternité solo avec dignité, sans plainte ni faux-semblant, c’est libérateur. Elle devient un miroir pour toutes celles qui, chaque jour, luttent pour garder le cap. Et un rappel précieux : on peut guérir sans forcément revivre une histoire d’amour. L’amour d’une mère suffit parfois à remplir toute une vie.
Très appréciée pour sa discrétion dans les médias, Lilia Bouyahiaoui ne parle que rarement de sa vie privée. Ces quelques mots partagés en toute sincérité sur Instagram réaffirment son authenticité et sa profondeur d’âme. Elle ne cherche ni à plaire, ni à se justifier, mais à inspirer avec calme et dignité.
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