
Miss_houta · 5 décembre 2012 à 14:52
Voilà c'est un petit texte que j'avais mis sur facebook il y a longtemps, mais en lisant ce forum j'ai vu des femmes victimes de leur maris, alors je voulais le partager avec elle :
J'me rappelle de ce jour :
Tu m'as tapé dans l'oeil, tu m'as rendu aveugle. C'etait pas de l'amour, mais le temps qui m'avait pris de court. J't'ai croisée, et j'dois l'avouer j'ai finis couchée à terre. Ma force de tous les jours face a toi se changait en fragilité, mes cris de colére etaient des douceurs à tes cotés. Rampant a tes pieds, moi j'aurais tout fait pour toi.
J'me rappelle de nosrnpremières clés ensemble, les premiers meubles, le silence et à l'inverse le bruit de la vaisselle retentissent dans notre appartement, j'ai pris l'habitude avec le temps, de t'attendre patiement, t'aimer démeusurement. Les repas a deux, et comme t'aimait quand j'attachais mes cheveux en queue.
L'envie de m'avoir avec toi une eternité, la facon que t'avais de me caresser. Si brut et si intense à la fois, j'en reste encore bouche bée, ces soirs ou gelée dehors je claquais des dents. Tu m'entendais pas crier ton nom, c'etais comme une melodie qu'on a trop souvent répétée. C'etait une habitude chez toi, m'aimer au point de me hair, certains soir avec toi j'voulais en finir, mais j'savais que j'pourrais jamais partir. Me detacher de toi c'etait impossible. J'en ai eu des bleu au coeur et devant nos amis on cachait nos rancoeurs, ces soirs où je finissais en pleurs.
C'est sûr j'etais croc de toi face au monde, T'explosais de rire et à chaque sourire j'en avais mal au côte. Mal de trop t'aimer surement, de t'aimer simplement, quand toi tu voulais compliquer Notre passion des premiers jours. Mais tu sais Omri, moi j'aurais fuis avec toi s'il le fallait. Dans ma prison de verre j'aurais voulus vieillir, m'en sortir, et reussir un avenir, seulement si t'etait a mes cotés. Mais t'as pas dû comprendre que chaque battement de mon coeur t'etais déstiné, que j'etais pas faite pour une vie teinté de sang, t'as pas dû remarquer que notre histoire elle aurait pu fonctionner.
J'y ai mis du mien mais ce n'etait pas suffisant. J'en pouvais plus, je t'ai fuis et pas correctement j'dois l'avouer ( … )
J'me souvient plus du reste, l'amour laisse des traces indélibiles parfois, des coups parfois trop dur a supporter. Une cote, un bras et j'me vautre et tu continu ton combat, me rattrape par cette queue de cheval que t'as toujours aimer, j'me débat mais j'ai aucun pouvoir face à tes mains qui avant me caressait. Et puis j'ai croisée ton regard et j'dois l'avouer j'ai finis coucher.
Le reste je me rappelle pas ( … )
A l'heure qu'il est j'suis allongée, et ce ne sont plus tes bras mais un drap qui est en train de me bercer. Notre Amour etait surement trop fort Omri, il faisait surement trop mal pour que je songe a y survivre, j'ai succombée à ton amour, a tes violences, a tes doutes, a mes blessures ( ! )
J`FRƋPPҼ J`MҼN BƋS LҼS C0UiiLLҼS J'Ƌi PƋS PҼUR T`FƋC0N ҼLLҼ SҼNT PƋS LҼS C0UPS