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Il était une fois dans l'Algérie

Posté par cendrillon · 47 réponses · 12.9k vues

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cendrillon · 7 juillet 2013 à 13:57

cc les filles j’ai créer ce poste pour pouvoir réunir toutes l’histoires ou les légendes qui se sont passées dans notre chere algerie
a vos histoires les filles , vous n’avez qu’a demander à vos grand parents
Dar el m3akra Casbah
Je vous conte une histoire, merveilleuse, (et véridique)qui s’est déroulée durant les dernières années de l’occupation française en Algérie. Les faits ont eu lieu dans un quartier populaire d’Alger. Dans une petite maison qui a pour appellation la « maison parfumée » ou « dar al m3akra » (sans doute certains de nos frères ou soeurs du forum en ont entendu parler…)…et jusqu’à ce jour ses visiteurs peuvent sentir en approchant d’elle une merveilleuse odeur semblant venir d’Ailleurs : « Deux sœurs à la vie dissipée, logeaient dans une douera, et elle avaient loué une petite pièce à une femme, assez pauvre ! Une nuit parmi d’autres où les deux femmes s’étaient préparées pour faire la fête, et dans l’attente, elles avaient fait cuire la moitié d’un "méchoui" dont les odeurs très appétissantes de grillade s’échappaient loin ! L’une d’elle, la plus âgée s’affairait devant ses fourneaux tandis que l’autre était allongée, sur un matelas ! Leur locataire est venue les voir pour demander un peu de sel ! Elle était enceinte de plusieurs mois… ! Puis, elle est revenue, une deuxième fois et une troisième fois, et à chaque fois qu’elle passait et repassait dans la petite cour de ses propriétaires, elle jetait de furtifs regards vers la pièce « au méchoui » ! tetwaham La sœur qui était allongée sur son matelas, n’avait rien raté de ce petit manège, et soudain elle se mit sur son séant et elle dit à son ainée « donnons-lui une part, oukhti ! » -"Non ! rétorque sans hésiter celle-ci ! Elle n’aura pas une miette" !!! sa jeune sœur connaissait l’avarice et l’obstination de son aînée aussi se leva-t-elle et lui dit-elle d’un air grave et décis :
« oukhti, je suis prête à te faire don sur papiers notariés, de ma part dans cette maison, si tu donnes TOUTE cette viande à cette femme ! -« …………mais !!! T’es complètement folle? Lui jeta-t-elle ? puis, s’étant assurée du sérieux de la proposition de sa cadette, elle se précipita dehors pour aller chercher le cadi, et les témoins, et la transaction fut faite illico presto, et les papiers de la maison qu’elles se partageaient, signés au nom de la sœur aînée ! Sa cadette ne possédait plus rien à présent (de ces….biens terrestres) ! et..Toute la viande dorée et croustillante fut donnée jusqu’à la dernière bouchée à la femme enceinte qui fut folle de joie ! La sœur si charitable a alors réintégré sa chambre, après avoir souhaité la bonne nuit à la nouvelle propriétaire… Le lendemain matin…l’ainée fut intriguée par une odeur …inéfable, qui semblait provenir de la pièce de sa sœur ! Et comme le jour s’était complètement levé, elle se dirigea vers la chambre pour réveiller cette dernière! La porte était fermée à clef de l’intérieur ! Elle se mit à frapper fort en criant son nom…Rien !… le silence seul lui répondit ! Elle finit inquiète, par aller chercher la police qui vint défoncer la porte …
Et là….un spectacle inattendu, extraordinaire apparu à tous, en même temps qu’ils sentirent des odeurs indescriptibles et merveilleuses venant dirait-on … du Paradis ! Au milieu de la pièce était couchée la jeune sœur, morte dans un linceul blanc immaculé « mkafna » ! Une crainte révérencielle parcourut l’assemblée, pétrifiée ! On envoya l’un des policiers pour mander l’imam du quartier qui vint à toute vitesse ; et devant tout le monde, la sœur dut s’expliquer et dire la vérité sans rien omettre des détails de l’histoire de la veille !"
Voilà ! et pour finir, sachez qu’il a été décidé d’enterrer cette bienheureuse, dans sa chambre même » et elle y demeure jusqu’à ce jour, Allah yarhamha !
La douera se trouve à la casbah d’Alger dans une ruelle qui donne sur la rue Randon vers Djamaa Lihoud.
Source : aslama.com

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cendrillon· Posté le 07 Jul 2013 à 14:03

2 eme source : ma maman

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cendrillon· Posté le 07 Jul 2013 à 14:08

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saroura· Posté le 07 Jul 2013 à 14:12

Je t’en met une que j’aime beaucoup :

La légende de Khadoudj el 3amia



Cité séculaire chantée par les artistes et les poètes, la Casbah d’Alger, joyau architectural aux demeures aux façades chaulées et aux portes d’entrée finement ouvragées, garde, quelque part, au fond de sa mémoire, des histoires et des légendes que des générations se transmettent.
Les femmes nées ou ayant grandi dans cette cité quasi mythique se rappelleront toujours l’interdiction qui leur était faite dans leur enfance de se regarder ou plutôt de se contempler dans une glace.

Cet interdit ou plutôt cette peur reste liée à une histoire ou à une légende que les habitants de La Casbah, à travers les temps, se transmettent.
C’est l’histoire de Khedaoudj El-Amia, une jeune princesse ayant vécu à l’ère ottomane. Khedaoudj, très choyée, reçut de son père, Hassan Khaznadji, trésorier du dey Hussein, un miroir, à l’issue de l’un de ses longs voyages en mer.
La jeune fille, qui passait auparavant ses journées en compagnie d’amies de son âge, les délaissa et se regardait désormais sans se lasser dans la glace.
Des jours passèrent et elle commença à ressentir des picotements aux yeux puis eut des troubles de la vision. Son état empirant, son père la fit ausculter par un médecin qui ne décela rien d’anormal. Un matin, elle se mit à crier. Son père accourut et constata que sa fille bien-aimée avait perdu la vue. malgré le concours de plusieurs éminents médecins de l’époque, Khedaoudj restera plongée dans le noir. Hassen, en père prévoyant, décida d’acheter un palais afin que sa fille préférée soit à l’abri des vicissitudes de la vie. Cette magnifique demeure, portant le nom de Khedaoudj El-Amia, qui abrite actuellement le Musée national des arts et traditions populaires, est connu par les habilitants de La Casbah sous cette appellation.


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saroura· Posté le 07 Jul 2013 à 14:20

Et une autre encore :

La légende de Hammam meskhoutine

Il y a de cela très très longtemps vivait dans cette belle région de l’Algérie, une tribu puissante et redoutée dans tout le pays. Enfant déjà, le héros de l’histoire s’illustre par son intelligence et sa supériorité dans le jeu avec les autres petits enfants de son âge. Homme, il devient le cavalier le plus valeureux de toute la tribu. Rien ne paraissait pouvoir l’arrêter. Les sages de la tribu essayaient, en vain, de lui inculquer les principes de la force maîtrisée. Difficile de croire en autre chose qu’en sa propre force quand on est le plus fort de tous et dans tous les domaines …






Et voici les mariés




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cendrillon· Posté le 07 Jul 2013 à 14:54

waw j’adore la legende du hamam 👍 merci saroura



tu sais saroura depuis mon enfance j’ai été émerveillée par la mythologie algérienne on peut assimiler nos légendes à de la mythologie quand meme

j’ai déjà visiter le chateau de khdaouedj el3amia , j’avais peur de regarder dans le miroir mdr 🏃‍♀️

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jumana· Posté le 09 Jul 2013 à 11:13

j’ai déja entendu parler de cette histoire d’une de mes voisines allah yarhamha, ou yarham jami3 mawtana !!!

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jumana· Posté le 09 Jul 2013 à 11:24



La légende de Aïcha « Mou Krah » (l’Ogresse aux pieds de chèvre) nous revient dans les songes de grands mères pour dépoussiérer de très vieux contes qui marquent encore la mémoire collective. Il s’agirait selon la légende repandue d’une comtesse portugaise qui ne portait pas le voile est qui a des variantes selon la tradition orale. Elle est indéniablement une femme immortelle largement métissée car elle à la fois berbère ct portugaise (Aicha la comtessa) et même soudanaise …. Elle est un jinn féminin qui possède le corps d’une femme et les pieds d’un chameau. Ce mythe se rapproche de l’épisode de l’Odissée d’Homère lorsque les sirènes qui attiraient Ulysse et ses compagnons et dont un stratagème adroit lui permet d’entendre le chant sans succomber faces aux créatures séduisantes et redoutables. Aicha Kandicha est l’un des génies les plus populaires, avec le Ghoul, sorte d’ogre dont on ne se lasse pas de raconter les histoires pour faire peur aux enfants. Ces démons sont des créatures dont l’existence remonte au temps de la Djahilia et forment une des armatures principales de la mythologie populaire au Maghreb Aïcha Kandicha est une figure de la mythologie Algérienne. Elle est souvent présentée sous les traits d’une très belle sorcière. qui reste à l’écart du monde et qu’il ne faut pas déranger sous peine de s’en attirer les foudres. On raconte ainsi souvent aux enfants: "attention, sinon Aïcha Kandicha va venir le chercher !" et c’est un mythe encore très vivant dans la culture contemporaine. Cette créature est connue également sous diverses appellations comme Lalla Aïcha, Aïcha Soudaniyya, Aïcha l’gnaouia est décrite selon les légendes comme une femme fascinante et terrifiante et apparaît près des lieux humides, qu’elle n’aime pas les hommes ou qu’elle mange les petits enfants qui font des bétises. Vétue avec de belles étoffes, pour cacher des seins pendants et des pieds de chamelle (ou de chèvre, ou de mule). A remarquer que tous les djinns, dans l’esprit populaire sont affublés de pieds de mouton. Aïcha les cache soigneusement. Elle est souvent décrite pour attaquer les voyageurs égarés. Inlassable séductrice, malheur à celui qui ne la côtoie pas sans avoir découvert son identité ou s’être protégé en plantant un couteau dans la terre, elle détourne quantité d’hommes qui sont ainsi voués au célibat ou, s’ils sont mariés, voient leur vie conjugale frappée par la mésentente, l’impuissance, la maladie, la stérilité… Elle est parfois associée par plusieurs chercheurs à Astarté ou encore à qandicha et qedecha, femme sacrée du Proche-Orient antique.

Source: EL MOUDJAHID

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sushi· Posté le 09 Jul 2013 à 12:42

Bonjour à toutes



Je connais les histoires que vous avez raconté, bien sur elles m’ont été racontées par mes grands parents qui sont nés et ont vécu à la casbah - je vous raconte cette histoire mais je suis sure que c’est juste une légende, enfin je ne sais pas au juste.

Au temps de la colonisation vivait une famille très pauvre à la casbah, le père de famille n’avait plus d’argent pour payer son loyer, le propriétaire les mis dehors. Ils ont déambuler toute la journée pour trouver un toit en vain. Un homme qui en avait entendu parler vint le voir et lui fit offre : Je possède une grande maison mais elle est vie parcequ’elle est hantée si tu as le courage d’y habiter avec ta famille je te la donne. Le pauvre a sauté sur l’occasion, il a pris a famille est s’est installé dans une maison qui etait presque un palais, sa femme qui n’etait au courant de rien etait folle de joie elle croyait rever. Mais le soir venu l’homme prit peur et dit à sa femme : je vais chercher du travail toute la nuit ne t’inquiéte pas pour moi.

Le soir tombé la femme fit dormir ses enfants quand une femme accoudée au balcon superieur lui dit : Msselkheir ya benti, la jeune femme sursauta et répondit : je croyais qu’il n’y avait personne dans cette maison, la dame lui répond non non j’habite ici, d’ailleurs je n’ai pas sommeil je vais venir te tenir compagnie, la jeune femme mis parterre une peau de mouton et quelques minutes après la "voisine" arriva son corps etait en morceaux d’or, il y en avait des kgs et des kgs, ma pauvre femme s’est évanouie mais quand elle a repris ses esprits elle a tout compris, d’abord que la maison était hantée, que son mari le savait et qu’il avait peur donc il s’est défilé et surtout qu’ils etaient devenus riches. Le matin quand son mari est rentré elle lui a demandé s’il avait trouvé du travail et répondit non, sa femme pris un morceau d’or et lui dit va nous acheter ce qu’il faut.

Il paraitrait que c’est toujours cette famille qui habite la maison du moins leurs descendants, et qu’ils n’ont jamais rien vu mais si un etranger vient acheter ou louer, il repart le soir meme.

Voila c’est une belle histoire non ?

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mimiloudz· Posté le 09 Jul 2013 à 12:47

je connais cette histoire sushi mais elle est encore plus longue que ca ,toi tu as fais plutot court …ha ha ha 😄

mais c’est une histoire veridique 😉

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sushi· Posté le 09 Jul 2013 à 13:32

Coucou Mimi,



C’est tout ce que je connais de cette histoire, raconte nous les détails - Tu es sure que c’est véridique? Moi je pensais que c’etait plutot une légende, mais ma mère et ma grand mère nous ont assuré que c’etait vrai. Vas y raconte

DZIRIELLE VOUS RECOMMANDE
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mimiloudz· Posté le 09 Jul 2013 à 13:49

je te promets de la raconter en details plus tard ,le faut que je file a la cuisine mr arrive et je n’ai tjrs pas fait de diner …

mais pour l’histoire je peux t’assurer qu’elle est veridique …

assez longue a raconter ,mais les faits sont reels …

a plus tard 💋

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Sinfoura· Posté le 09 Jul 2013 à 14:00

cette maison c’est pas la villa qui se trouve en allant vers sidi frej ( staoueli ) alger !!

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jumana· Posté le 09 Jul 2013 à 14:07

en dirait que vous parlez de la villa de la Bridja !!!!!

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algeroise16· Posté le 09 Jul 2013 à 14:14

j’aime beaucoup vos histoires les filles;surtout celle de SUSHI

alorss moi je vais vous raconter la legende de YEMMA GOURAYA

Haut perchée à 660 m d’altitude, surplombant l’île aux Pigeons et la baie du Saphir, dominant la ville de Béjaïa qui, blottie dans son giron s’estime bien protégée, la sainte mère, Yemma Gouraya, continue à intriguer touristes et visiteurs.Curieux seront plutôt les historiens, et même certains habitants de Béjaïa, qui depuis des lustres essayent par tous les moyens d’élucider le mystère de ses origines et de percer le secret de son incroyable légende.

Pour les vieux, la question ne se pose plus, car ils se basent plutôt sur la croyance populaire, qui estime que Yemma Gouraya, à l’instar de ses deux soeurs, Yemma Yamna et Yemma Bridja, a préféré la ville de Béjaïa pour y élire domicile sur les hauteurs de ses montagnes, afin de pouvoir méditer pour ensuite divulguer son savoir aux habitants de la contrée qui croient en ses connaissances théologiques. D’ailleurs, son nom dérive de Yemma El-Koraïa (mère enseignante) et elle aurait effectivement enseigné le soufisme.

Mais la légende demeure vivante. La fiction côtoie la réalité, et au-delà des vestiges - ruines du fort espagnol - les Béjaouis s’amusent à échafauder mille et une suppositions à l’égard de celle, qui, si elle avait été un homme, aurait fermé la bouche du 100e saint de la région.

Le 100e saint donc n’est autre qu’une femme - Yemma Gouraya - qui ne peut rivaliser avec les pouvoirs masculins pour former la chaîne sacrée.

Yemma Gouraya d’origine arabe!? nous dira-t-on, et ses deux soeurs, sont donc venues (on ne sait d’où) pour propager l’Islam et instaurer la paix. Elles furent persécutées impitoyablement par les non-croyants, mais finirent quand même par rester dans la région et lutter pour une cause qu’elles jugèrent juste et sacrée.

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cendrillon· Posté le 09 Jul 2013 à 21:51

waaaaaaaaaw les filles vos histoires sont yes j’en ai une moi aaussi

Seïda-R’eriba, la Sainte de Tlemcen.



Il y a longtemps, bien longtemps vivait une sainte femme nommée Seïda-R’eriba. Sa vie était si pure, ses prières et ses dévotions avaient tellement touché la Divinité que Seïda-R’eriba avait obtenu le don des miracles. Quand elle mourut on l’enterra dans la mosquée d’El-K’orran avec les plus grands honneurs et l’on continua de vé- nérer sa mémoire. Aussi, depuis cette époque, les habitants du quartier d’El-K’orran sont-ils particulièrement protégés par la Sainte.
Quelquefois, à la nuit tombante, dans l’une des rues silencieuses de ce vieux quartier, les enfants aperçoivent une ombre blanche qui glisse le long des maisons ; c’est Seïda-R’eriba qui fait sa ronde. Quelquefois aussi elle passe le seuil et vient s’asseoir à votre foyer. Alors on ne la voit pas, mais on l’entend. Est-ce un rire joyeux qui a frappé votre oreille?

Bénissez Seïda-R’eriba ; c’est du bonheur qui vous arrive ! Mais si un soupir, une plainte, un sanglot s’est fait entendre, tremblez ; quelque grand malheur vous menace ! Les voleurs sont à votre porte, le feu va dévorer votre maison, un tremblement de terre l’engloutir, l’ennemi est sur vos remparts ! Pauvre mère, c’est peut-être ton enfant qui va mourir !
Jamais les avertissements fatidiques de Seïda-R’eriba n’ont trompé personne et nul ne les a méprisés impunément ; le quartier tout entier de El-K’orran serait là pour vous l’attester.

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nadhia· Posté le 10 Jul 2013 à 00:52

Super vos histoires les filles. Cendrillon ta dernière me fait froid dans le dos.


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nadhia· Posté le 10 Jul 2013 à 00:56

La légende du djebel Babor.



Il était une fois un bateau immense, si grand que jamais personne n’en avait vu de pareil. Ses proportions inaccoutumées provoquèrent l’étonnement des gens de mer qui s’enfuyaient à son approche. Tous craignaient cette masse qui pouvait s’abattre sur leurs frêles esquifs et les pulvériser. Alors que nombre d’armateurs convoitaient ce vaisseau, son propriétaire avait choisi, profitant de l’énorme capacité de son armement, de voguer à travers toutes les mers du globe avec à son bord une foule de voyageurs pour un périple sans fin. Dans quel but ? Nul ne le savait ! Seul le commandant à bord eut pu le dire ! Un parchemin scellé à la cire, rompu au large du port d’attache le lui avait appris ; mais l’ordre lui enjoignait expressément de laisser dans l’ignorance tout subalterne. En navigant dans les mers antarctiques, le navire s’était couvert de glace, les mâts en étaient lourdement chargés. Croisant en Méditerranée, au large de la Cote d’Azur, son climat tempéré n’eut pas raison de cette gangue de glace.
A bord, il était surprenant de constater que les passagers portaient barbes importantes et cheveux longs, ce qui les laissait dans un anonymat complet.
Se trouvant au large des côtes kabyles, ce navire géant fut pris dans une effroyable tempête.
Alors le bâtiment se mit à tanguer fortement, les vergues s’inclinaient sous le vent. Les voiles claquaient, se fendaient dans la largeur, s’envolaient en loques.
Les vagues écumaient, s’élevaient de plus en plus, déferlaient dans un vacarme de fin du monde. Un coup de vent plus fort que les autres, arracha le grand mât et le bateau démâté bascula dans l’onde amère. Un remous le désempara, le roula, désormais vaincu à la merci des flots rageurs.
Maintenant la grande mangeuse, furibonde, à l’approche de la côte se colletait avec les eaux tumultueuses et boueuses d’un fleuve. A son embouchure un raz de marée prit le navire dans ses rouleaux et s’en joua comme d’un fétu de paille à travers les récifs sournois. Une ville s’apercevait sur la côte. A cette vue, les malheureux passagers pris par l’angoisse, se mirent à espérer. Tous élevèrent leurs supplications vers le Régisseur des mondes qui crée et apaise les tempêtes. En réponse, une vague formidable prit le bateau, le souleva dans sa trajectoire, le projeta dans les airs à une très grande hauteur et le poussa au plu s loin retombant sur le sol.
Cet évènement, qui se situait au sud des villes actuelles de Béjaïa et Jijel, changea l’aspect de la contrée. La coque se renversa et ses débris recouvrirent une zone de terres arides, incultes, où il n’existait aucune trace de vie humaine, où nul village n’égayait l’uniformité de la plaine, limitée par des montagnes.
Quelques naufragés, favorisés par la chance, purent se dégager de la masse de fer, de bois et de glace, pendant que l’équipage et le reste des passagers
trouvaient la mort par asphyxie et par écrasement. Les survivants, étreints par la crainte d’un retournement de la carène, ce qui les eût infailliblement ensevelis, allèrent s’établir à une distance suffisante pour ne plus avoir rien à redouter d’elle. Les morts avaient dans l’épave un cercueil monumental ! Les ans, les siècles apportèrent le sable et la terre nécessaires à l’enfouissement total de la coque. Extraordinairement, la luxuriante pilosité des passagers, maintenant morts, croissait, se frayant un passage par toutes Les fentes des planches disjointes de la carcasse. La glace avait fini par fondre et abreuva les terres desséchées.
Un miracle s’était accompli : « La montagne du Babor était créée !!! »
La puissance du Détenteur de tout pouvoir fit fructifier les cheveux et les barbes, Il les transforma en arbres superbes. De ce jour naquit le « Pinus Baboriensis >> ou Pin du Babor. Ce conifère qui a les aiguilles du pin et les branches horizontales du cèdre ne se trouvent nulle part ailleurs. La pomme de pin, c’est-àdire le cône est pointu, beaucoup plus allongé que celui du pin d’Alep (Pinus halepensis). Le pays du Babor, dès lors, eût une flore exceptionnelle et une faune rare.

http://www.kassaman.com/categorie-12513605.html

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Sinfoura· Posté le 10 Jul 2013 à 09:21

j’adore ce topic …

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magnolia· Posté le 10 Jul 2013 à 09:55

ah les filles wellah je vous adore tout je sens que je vais bien apprendre sur se poste jattend la suite avec impatience.merci cendrillon pr se topic.

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cendrillon· Posté le 10 Jul 2013 à 14:00

je t’en prie magno 😉, moi aussi je vais apprendre bcp de chose sur ce poste

nadhia ton histoire est 👍


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cendrillon· Posté le 10 Jul 2013 à 14:06




La légende de Mama Binette

Le 9 janvier 1802, le navire de guerre français Le Banel s’apprête à quitter le port Toulon en direction des Caraïbes. Le trois-mâts dirigé par le Capitaine Flièrèse Callamand devait réprimer une révolte à Saint Domingue avec d’autres navires de guerre français. 528 militaires, 200 fusiliers marins et neuf femmes néerlandaises se trouvaient à bord du Banel.

Le Banel ne devait cependant jamais arriver à destination ; suite à une violente tempête, il s’est échoué sur la côte de Béni Hawa, à 130 km à l’ouest d’Alger. Deux semaines plus tard, M. Fraissinet, consul néerlandais en Algérie, en a été informé. Une partie des survivants aurait été sauvée par des Maures et des Kabyles et une autre partie aurait été tuée.

Le collègue français du consul, M. Dubois-Thainville, a immédiatement envoyé une lettre au bey d’Oran afin de faire libérer les survivants. Le 30 mars, Fraissinet a fait savoir que 470 membres d’équipage avaient été libérés et que 262 avaient disparu ou avaient été tués. Dans son rapport, il ne fait pas mention des neuf femmes qui se seraient trouvées à bord du Banel.

Selon la légende, sept, cinq ou quatre femmes (les chiffres diffèrent) avaient été faites prisonnières comme butin de guerre par une tribu locale. Le chef de la tribu prit une femme pour lui-même et offrit les autres à divers villages de la région.

Dans les villages, les femmes devinrent rapidement célèbres et furent louées pour leur piété et leurs bonnes actions. La femme la plus âgée était particulièrement chère à la population locale et au chef de son village, qui l’épousa après sa conversion à l’Islam.

Après sa mort, cette femme chérie a été vénérée comme un « marabout » (sainte). Son nom d’origine a également été oublié puisqu’elle devient connue comme « Mama Binette », ou « Umm Binette » (mère des filles). Une dalle funéraire endommagée rappelle toujours cette femme et ses six pieuses compagnes d’infortune.

Cette dalle se trouve dans le Mausolée de Mama Binette (édifié en 1936) qui donne sur la « baie des Souahlia » pas loin de l’endroit où Le Banel un jour fit naufrage. Aujourd’hui, le navire se trouve à 70 mètres de fond avec toujours deux canons à bord. Le mausolée est actuellement un lieu de pèlerinage où les femmes algériennes déposent des fleurs et dansent pour chasser le(s) démon(s).

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algeroise16· Posté le 10 Jul 2013 à 17:51

vous connaissez tous la chanson d’IDIR VAVA INOUVA

saviez vous que c’est une légende bèrbère

Dans la tradition berbère en Afrique du nord,les populations se sont organisées en village. Les affaires du village sont traitées par une association dénommée TAJMAAT composée de sages du village ; les liens sont très forts entre les membres du village.

Apres les labours soit en automne et à la fin des récoltes soit le début de l’été, le village organise LOUZIÂA qui est une opération qui consistait a faire manger de la viande a tout le village et régler aussi les problèmes du dit village. Louziâa est aussi un moyen et une occasion pour les filles et les garçons de se retrouver et de la naissent les unions futures… l’occasion de choisir la future épouse quoi.

Revenant à Mr INUVA… le village décide de faire louziâa , la date est arrêtée les bœufs sont achetés et prêts a être égorgés ; le jour venu on égorge toutes les bêtes et on compte le nombre de part, suivant le nombre de famille on appelle ça TOUNATH… Mr inuva vole une part et la met dans le capuchon de son burnous… les organisateurs compte et recompte et toujours une part manque… Les sages jetèrent le sort ( DA3OUSSOU) que celui qui a volé la part de viande voit ses jambes enfoncées dans la terre une fois que la foule se dispersent .

Le moment fatal arriva,à la tombée de la nuit inuva ne peux marcher ; ses jambes sont enfoncées jusqu’à la taille.. ses enfants par peur d’être dévoré par les chacals ( lwehch lgava) décidèrent de lui construire une cabane, sa petite fille lui apportait la nourriture… la petite fille fait teinter ses bracelets pour lui signifier que c’est bien elle…






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tissou· Posté le 10 Jul 2013 à 17:59

je connais toutes ces hisoires qui m’ont été racontés par mon arrière grand mère je me lasse jamais de les lire ou écouter

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sucredorge· Posté le 10 Jul 2013 à 20:27

Le ravin de la femme sauvage

Au quartier de Ruisseau, à Alger, vivait au XIXe siècle une jeune veuve avec deux enfants. Par une journée printanière, la petite famille décide de faire un pique-nique dans la forêt, située du côté de Oued Kniss comme on l’appelle aujourd’hui. Cette forêt fortement boisée est traversée par des pentes abruptes, des sentiers étroits et des ravins dangereux. Il faut être vigilant pour éviter de glisser dans l’une des nombreuses crevasses.
La partie de cache-cache vire au drame
Après le repas, les enfants s’élancent dans le bois, encore insouciants et heureux. Sourds aux recommandations de leur mère qui leur crie de ne pas s’éloigner et de rester prudents, ils «gambadent» partout, laissant libre cours à leur envie de jouer et de se dépenser. La maman se détend sous un arbre, mais, au bout d’un moment, elle s’inquiète de ne plus entendre ses enfants. Elle se lève et va à leur recherche. Au début, elle pense que les deux farceurs lui font une blague : «Sortez de votre cachette ! Où êtes-vous ?» leur crie-t-elle. Au bout d’une heure, la veuve se rend à l’évidence. Ces enfants ont dû tomber dans l’un de ces dangereux ravins. Elle les cherche désespérément puis court prévenir ses voisins. La forêt est passée au peigne fin, mais sans résultat. La nuit tombe. Les voisins lui suggèrent de rentrer chez elle, mais la mère, éplorée, hurle qu’elle n’ira nulle part avant d’avoir retrouvé la prunelle de ses yeux.
Jamais sans mes enfants
Les semaines s’égrènent, puis les mois et les années. La malheureuse femme erre en haillons comme une âme en peine. Elle a complètement perdu la raison et n’ouvre la bouche que pour pousser un cri d’animal blessé. De temps en temps, les promeneurs surprennent une ombre furtive. La silhouette se dissimule derrière les buissons dès qu’elle sent une présence. Elle vit en marge de la société, se nourrit de fruits sauvages et dort entre les buissons. Un jour, on découvre son cadavre au milieu de la forêt. Depuis, cet endroit est désigné par «Le ravin de la femme sauvage

Le ravin de la Femme sauvage c’est aussi le titre donné par le peintre Auguste Renoir à l’un de ses tableaux peints en 1881 lors de son premier séjour à Alger Ce tableau représentant la forêt du ravin de Oued Kniss comme on l’appelle aujourd’hui se trouve au musée d’Orsay à Paris.

Source:El watan






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cendrillon· Posté le 10 Jul 2013 à 20:31

waaaaaw au quartier de Ruisseau, à Alger 😵‍💫 , j’en ai jamais entendu parler de cette histoire merci sucrdorge pour le partage

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sucredorge· Posté le 10 Jul 2013 à 20:37

je t’en prie Cendrillon ;

moi cette histoire me fascine et me touche ; je voulais vous la faire partager

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natacha06· Posté le 10 Jul 2013 à 22:08

salam salam les fille saha foutrkoum merci de partager ces histoire avec nous algeroise16 ton histoire je la connait ma grand mére me la raconté et toi cendrillon tu est vraiment la cendrillon de ce forum et toi sucredorge c la 1fois que je découvre ton histoire elle ma toucher merci merci

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cendrillon· Posté le 10 Jul 2013 à 21:59

et ben t’as bien fait , ça m’a touché ana tani

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cendrillon· Posté le 10 Jul 2013 à 23:35

natacha 💋

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sucredorge· Posté le 11 Jul 2013 à 20:23

Je vous en prie les filles;

Moi je voudrai connaitre l’histoire de la villa hantee en allant vers Sidi Fredj?
🔥

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tissou· Posté le 12 Jul 2013 à 14:06

Mdr sucredorge moi aussi j’aimerais tant la connaitre ça m’intrigue

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cendrillon· Posté le 14 Jul 2013 à 23:40



                              

Le château "hanté" de Raïs Hamidou : 

Propriété d'une duchesse française du 19e siècle,

Le long de la côte rocheuse de Raïs Hamidou à Alger, une imposante bâtisse de style colonial, en ruines et complètement délaissée, s'élève seule et isolée face à la mer. La légende urbaine veut que ce Château des Deux Moulins soit devenu au cours du temps une maison hantée 😡. Les habitants du quartier qui connaissent cet endroit depuis leur plus tendre enfance ont une version différente et bien plus réaliste de l'histoire de ce château.

« Aucune des familles qui ont tenté d'habiter cette maison après 1962 n'ont pu y rester 🔥. Dès la nuit tombée, les chaises volaient, une force surhumaine semblait cogner contre les murs et, selon les témoins, les vêtements des habitants voltigeaient dans les pièces comme dans un film d'horreur.🥹 » Cette anecdote n'est qu'un exemple parmi tant d'autres des nombreuses rumeurs qui circulent sur le château de Raïs Hamidou. Algérie-Focus est parti enquêter afin de découvrir la véritable histoire du lieu et comprendre d'où lui vient son surnom de « maison hantée ».



Un suicide qui fait croire aux fantômes

Gigantesque, seul face à la mer, le château en ruines peut effrayer plus d'un passant lorsque la nuit se fait sombre et profonde. Mais ceux qui le connaissent bien, ceux qui ont grandi avec, n'en ont pas peur. « Je mettrais ma main au feu que cette maison n'est pas hantée ! », s'emporte Ali, « dans les années 70 et 80 on venait souvent pêcher le soir, juste devant le château, et on n'a jamais rien vu d'étrange ». Outre son allure inquiétante, les rumeurs qui courent sur le bâtiment et ses fantômes proviennent surtout d'une tragique histoire de suicide. « Un homme, c'était un clochard et un malade mental, est venu se pendre dans la maison »,  raconte Sidi Ahmed un propriétaire de cafétéria dans les environs: « Moi, je le connaissais l'homme qui est mort. Il est venu habiter dans le château et a fait croire qu'il était fou, mais en vrai il ne l'était pas », explique Ali un homme dans les 60aine : « s'il a fait ça c'était pour qu'on lui donne à manger et qu'on le laisse tranquille ». « Mais un jour, on l'a retrouvé pendu à l'intérieur », poursuit le vieil homme, « c'était il y a une dizaine d'années et c'est à partir de ce moment-là que les histoires de fantômes ont commencé ».

source :- See more at:

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cendrillon· Posté le 14 Jul 2013 à 23:48

modératrice help me pls c’est trp grand 😓

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algeroise16· Posté le 15 Jul 2013 à 00:02

cendrillon voila comment était le chateau à l’époque de la colonisation


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algeroise16· Posté le 15 Jul 2013 à 00:13

de rien belle cendrillon

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cendrillon· Posté le 15 Jul 2013 à 00:11

merci algeroise

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nadhia· Posté le 07 Jan 2014 à 22:03

LA LÉGENDE DU MARABOUT DE SIDI-BEL-ABBÉS.

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II était une fois, un saint homme que l’on appelait Bel Abbés (le fils de Abbés), un descendant (chârîf) du Prophète Mohammed (sur Lui, la Bénédiction et le Salut d’Allah) par son grand-père, arrivé de Mekka (La Mecque) pour apporter la Parole d’Allah au Maghreb.
Bel Abbés avait accompagné à Tlemcen son père qui y enseignait à la médersa de la ville. C’est alors qu’Allah lui aurait donné l’ordre de porter sa Parole aux tribus de la plaine de la Mékerra : Amarnas et Ouled-Brahim, tribus arabes arrivées au Maghreb vers 1052 avec les Beni Hillal mais faisant partie de la confédération des Ma’qil.
Sa mission est un plein succès. En obéissant aux Lois d’Allah prêchées par Bel Abbés qu’on appelle alors le marabout Sidi Bel Abbés, les indigènes connaissent la paix et la prospérité.
Mais voilà que le Démon (qu’il soit lapidé) prend aussi les apparences d’un marabout et parvient à faire chasser Sidi Bel Abbés par les indigènes trompés par lui. Ce dernier doit se sauver et il se cache dans la forêt de Messer au sud de la ville actuelle.
Et c’est alors que, punition divine, se succèdent épidémies et famines dans les tribus. Amarnas et O. Brahim comprennent leur erreur et ils vont chercher Sidi Bel-Abbès pour le ramener parmi eux. Le saint homme retrouvé, chaque tribu le veut pour elle seule et c’est la guerre qui va être gagnée par les O. Brahim qui veulent alors s’emparer de Sidi Bel Abbés. Mais ce dernier leur échappe en se transformant en une colombe qui prend son vol et qui ira se poser, ensuite, sur la rive gauche de la grande boucle de la Mékerra, où le marabout reprend sa forme humaine. Témoins de ce miracle, Amarnas et O. Brahim se réconcilient et c’est ainsi que Sidi Bel Abbés va poursuivre son apostolat et son œuvre de paix jusqu’à sa mort en 1780. II sera, alors, enterré dans un mausolée (en arabe : Qoubba) qui portera son nom, sur la rive gauche de la boucle de la Mékerra, là-même où s’était posée la colombe.

source:http://azititou.wordpress.com/

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Myafine· Posté le 08 Jan 2014 à 00:15

Bonsoir 😊 merci cendrillon d’avoir eu cet bonne idee j’ai pris bcp de plaisir a lire c’est histoire

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emraude· Posté le 08 Jan 2014 à 00:37

Il est génial ce topic. On devrait en faire un livre pour que ces histoire restent dans les mémoires. Bravo les filles, ya3tekom saha 😊

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Delice· Posté le 08 Jan 2014 à 00:56

bon topic . j’aime bcp les légendes que vs nous faites part ! merci

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