Coucou emraude,ça se passe comment en fait,quand tu prépares tout,tu donnes tes affaires comment?ça m’interrèsse beaucoup!
Tu es d’ile de France?
J’allais poster ça,c’est le collectif HAMED,je vous poste le lien,il y a aussi une appel au dons pour la Birmanie,c’est le 20 janvier!!
ACTION BIRMANIE JANVIER 2014 :
Dès le 20 janvier 2014, en partenariat avec l’Association Miséricorde, le Collectif Halte Au Massacre En Birmanie (HAMEB) se rendra en Birmanie pour une MISSION HUMANITAIRE EN FAVEUR DES ROHINGYAS OPPRIMES. Aidez-nous à les aider. Chaque don compte.
→ http://www.collectif-hameb.com/index.php/fr/dons
Janvier 2014 : Rien ne change. En Birmanie, nos frères et sœurs Rohingyas restent opprimés par le Pouvoir, soutenu par les forces armées et par une population majoritairement embrigadée. A l’unisson, le Gouvernement, les médias, la police, les désignent comme les causes de tous les maux du pays. Comme dans d’autres pays, ils sont les boucs-émissaires. Les Musulmans.. Parallèlement, derrière les discours de façade, derrière les Droits de l’Homme évoqués du bout des lèvres entre deux signatures de juteux contrats, les dirigeants de la communauté internationale restent inactifs, s’interdisant toute forme de pression susceptible de mettre à mal leurs affaires respectives avec ce nouveau marché qui s’ouvre au monde. Les souffrances des Rohingyas ne les concernent pas. Ils n’ont pas d’argent, pas de ressources minières, les Rohingyas. Des centaines de milliers de familles, enfermées pour certaines dans des camps, pour d’autres dans des villages isolés, souffrent de la faim, de la maladie, de l’absence de soins. Massacres, viols, trafics d’êtres humains, lois xénophobes, contrôle des naissances.. Aucune forme de violence, physique ou morale, ne leur est épargnée. C’est pourquoi ceux qui ont évité l’enfermement à ciel ouvert dans les camps de fortune contrôlés par l’Etat, préfèrent vivre isolés, en vase clos, et éviter de croiser la route de leurs tortionnaires. Mais la contrepartie en est cruelle : La nourriture, les soins, n’arrivant jusqu’à leurs villages qu’en quantité très insuffisante, la faim et la maladie y sont omniprésentes.
Collectif HAMEB