1er Novembre. Nous nous arrêtons une seconde pour écouter le souffle de l’histoire et saluer celles et ceux qui, en 1954, ont choisi la dignité plutôt que la peur. Gloire à nos martyrs. Leur courage n’est pas un souvenir figé : c’est un cap, un nord. Il nous rappelle que la liberté s’entretient chaque jour par le travail, la solidarité et l’exigence envers nous-mêmes.
Aujourd’hui, tournons-nous vers l’avenir avec le même sérieux joyeux. Notre richesse ne se mesure pas seulement au pétrole ou au phosphate : elle se lit dans les yeux d’une jeunesse qui code, cultive, soigne, enseigne, crée. Elle se tisse dans la main d’une artisane, le champ d’un agriculteur, l’atelier d’une couturière, le laboratoire d’un ingénieur. Elle vibre dans nos langues ( arabe, tamazight, français) et dans nos accents multiples qui ne s’opposent pas : ils s’additionnent pour faire pays.
Bâtissons une Algérie qui apprend vite et partage large. Investissons nos écoles, nos bibliothèques, nos campus et nos centres de formation. Déployons une économie du savoir, des start-ups qui résolvent des problèmes concrets, une industrie qui respecte la terre. Faisons de notre soleil une énergie et de notre désert une capitale scientifique ; de nos villes, des écosystèmes verts et inclusifs. Donnons de l’oxygène à la culture : cinéma, musique, design, gastronomie. Exportons notre talent autant que nos dattes et nos idées.
Fixons-nous de petits serments simples et tenables : apprendre chaque jour quelque chose de nouveau ; créer de la valeur locale avant de chercher la validation ailleurs ; protéger l’eau, les forêts, la mer ; relier la diaspora et le pays par des projets concrets ; servir d’abord, s’afficher après. Ce sont des gestes ordinaires qui produisent des victoires durables. Multiplions les partenariats honnêtes entre public et privé, entre générations, entre régions, afin que la prospérité devienne un réflexe partagé.
Le 1er Novembre nous a légué un verbe : se lever. Levons-nous pour la compétence, pour l’honnêteté, pour l’écoute, pour l’égalité des chances. Levons-nous pour nos enfants afin qu’ils trouvent ici, en Algérie, de quoi rêver grand et agir tout de suite. De la Casbah aux Aurès, de Tamanrasset à Oran, réunissons nos forces calmes. Parce qu’un pays se construit moins par les slogans que par la précision des actes.
Mémoire en tête, avenir en mains. Bonne fête du 1er Novembre. Et que chaque aurore nous trouve au travail, unis, lucides et confiants.
Aujourd’hui, tournons-nous vers l’avenir avec le même sérieux joyeux. Notre richesse ne se mesure pas seulement au pétrole ou au phosphate : elle se lit dans les yeux d’une jeunesse qui code, cultive, soigne, enseigne, crée. Elle se tisse dans la main d’une artisane, le champ d’un agriculteur, l’atelier d’une couturière, le laboratoire d’un ingénieur. Elle vibre dans nos langues ( arabe, tamazight, français) et dans nos accents multiples qui ne s’opposent pas : ils s’additionnent pour faire pays.
Bâtissons une Algérie qui apprend vite et partage large. Investissons nos écoles, nos bibliothèques, nos campus et nos centres de formation. Déployons une économie du savoir, des start-ups qui résolvent des problèmes concrets, une industrie qui respecte la terre. Faisons de notre soleil une énergie et de notre désert une capitale scientifique ; de nos villes, des écosystèmes verts et inclusifs. Donnons de l’oxygène à la culture : cinéma, musique, design, gastronomie. Exportons notre talent autant que nos dattes et nos idées.
Fixons-nous de petits serments simples et tenables : apprendre chaque jour quelque chose de nouveau ; créer de la valeur locale avant de chercher la validation ailleurs ; protéger l’eau, les forêts, la mer ; relier la diaspora et le pays par des projets concrets ; servir d’abord, s’afficher après. Ce sont des gestes ordinaires qui produisent des victoires durables. Multiplions les partenariats honnêtes entre public et privé, entre générations, entre régions, afin que la prospérité devienne un réflexe partagé.
Le 1er Novembre nous a légué un verbe : se lever. Levons-nous pour la compétence, pour l’honnêteté, pour l’écoute, pour l’égalité des chances. Levons-nous pour nos enfants afin qu’ils trouvent ici, en Algérie, de quoi rêver grand et agir tout de suite. De la Casbah aux Aurès, de Tamanrasset à Oran, réunissons nos forces calmes. Parce qu’un pays se construit moins par les slogans que par la précision des actes.
Mémoire en tête, avenir en mains. Bonne fête du 1er Novembre. Et que chaque aurore nous trouve au travail, unis, lucides et confiants.
Rejoignez la communauté Dzirielle !
Accédez aux commentaires, aux forums, recevez nos contenus exclusifs et partagez votre avis avec d'autres passionnées de mode, mariage et culture DZ 💬
Créer mon compteDéjà membre ? Connectez-vous ici
DZIRIELLE VOUS RECOMMANDE
Aucun commentaire pour le moment... Et si vous ouvriez le bal ? Votre avis compte, partagez-le avec nous !