Un roman qui réunit passion, architecture et mémoire collective : "Aïda, fille du Mechouar" est l’œuvre poignante de Merya Gazelle, autrice algérienne qui signe ici une fresque romanesque nourrie par deux années de recherches historiques minutieuses.
Ce récit nous transporte dans la ville mythique de Tlemcen, en 1590, quelques décennies après la chute du royaume de Grenade. À travers l’histoire d’une jeune femme, Aïda, se dessine une méditation sur l’amour, les racines, la transmission, et la beauté d’un patrimoine oublié.
En 1590, elle a 19 ans et se prénomme Aïda. Fille de janissaire, sa beauté étincelante n’est pas seulement le fruit de la sélection naturelle. Elle est le reflet des multiples facettes de la Méditerranée.
Aïda nous invite à découvrir l’histoire et l’architecture de sa ville natale, Tlemcen, une cité ancienne de l’actuelle Algérie. La jeune femme apprend à assumer avec fierté son patrimoine matériel et immatériel. Elle s’interroge sur le passé et le présent, à la veille de son mariage avec Boumediene, Maure andalou, descendant direct du dernier roi de Grenade, Boabdil.
Samia Kaouadji, 44 ans, écrit sous le nom de plume Merya Gazelle. Ce pseudonyme est un clin d’œil à la gazelle, symbole de féminité dans la poésie arabe classique, mais aussi au prénom Merya, très prisé dans l’Andalousie musulmane.
Diplômée en langues étrangères appliquées, son parcours professionnel l’a menée en Éthiopie, à Rome et au Maroc, autant d’influences culturelles que l’on retrouve dans la richesse de son écriture.
Le roman est disponible à la vente sur le site d’Edilivre. Cliquez ici pour le découvrir :
? Aïda, fille du Mechouar – Merya Gazelle
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