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Nabila Dali nous émerveille avec son nouveau tube My Dream

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Lancé le 31 juillet dernier, le clip My Dream de Nabila Dali a atteint, à l'heure où l'on édite cet article, quasiment 60000 vues. Une voix mélodieuse, un texte poétique écrit en amazigh et un cadre féerique, il n'en fallait pas plus pour créer le buzz. Le succès est tel que nous avons voulu en savoir plus. Nabila Dali nous plonge dans les coulisses de son rêve.

Nabila Dali a toujours vécu en région parisienne, mais ses origines kabyles restent au cœur de son identité. Cette terre et cette culture, elle les porte avec passion. Elle débute très jeune sa carrière de chanteuse, d’abord au sein de chorales de jazz et de gospel, puis en tant que choriste. C’est en 2007, lors de sa participation à l’émission algérienne Alhane Wa Chabab, qu’elle se fait remarquer.

Depuis, elle trace son chemin : des concerts en France, en Angleterre, en Algérie, un premier single “Imru” réalisé en 2012 par Farid Aouameur, la première partie d’Idir à l’Olympia, et un premier album prévu pour cet hiver. “My Dream” en est le tout premier extrait. Co-écrit avec Sonia Lounis et Ilyes Yassine, ce morceau en langue amazighe et anglaise a été arrangé par Dominique Sablier, également réalisateur de l’album.

Un hymne à l’espoir

À propos de “My Dream”, Nabila Dali confie à Dziriya Magazine : “Cette chanson est basée sur l’espoir. Dans la vie, les épreuves, les expériences, et parfois même les gens, nous empêchent d’aller au bout de nos envies. La maturité laisse parfois place au scepticisme, malheureusement. Le texte raconte qu’il ne faut jamais oublier ses rêves d’enfance, et qu’il faut garder notre innocence malgré tout.”

Pour le clip, elle a souhaité plonger dans une atmosphère féérique : “J’ai voulu recréer cette ambiance que l’on trouve dans les dessins animés comme La Fée Clochette ou encore le film Maléfique. Avec l’aide de la production, du réalisateur Fergus Constantine et d’Ilyes Yassine — mon mari et luthiste — nous avons tourné en Bretagne, dans une forêt à couper le souffle. Le tournage a duré quelques jours.”

Entre Kabylie et légendes celtes

L'influence celtique dans sa musique lui est venue tout naturellement : “Ayant fait des études d’anglais et vécu un temps à Londres, j’ai toujours été attirée par la musique anglo-saxonne, l’intonation de la langue, et la ressemblance entre certains chants celtes traditionnels et ceux de chez nous.”

Découvrez le clip : https://youtu.be/5n54GAreR84



Article issu des archives de Dziriya Magazine (2003–2022), première version de Dzirielle.

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