
chahinezalg · 12 août 2012 à 00:12
L'Islam a accordé une place de choix à la femme musulmane. En effet, elle bénéficie, dans la loi islamique, d'une grande attention, susceptible de préserver sa chasteté, de la rendre puissante et d'avoir une place respectable dans la société et d'être respectée de tous.
Sourate 49, Al Hujurat (Les appartements), verset 13
« Ô Humains ! Nous vous avons effectivement crées d'un mâle et d'une femelle, et vous avons répartis en nations et tribus, pour que vous connaissiez les un les autres. Le plus honorés d'entre vous, auprés de Dieu, ce sont les plus pieux ! Dieu connaît tout, et est bien informé, vraiment ! »
La femme musulmane doit respecter et se faire respecter. Elle doit imposer sa présence en tant qu'être adulte réfléchi, éduqué.
Quand à ceux qui transgressent l'ordre établi, qu'ils apprennent que le Prophète (paix et bénédiction sur lui) les a avertis en ces termes :
« Injurier un croyant (à plus forte raison, une croyante) constitue le délit dit : « Fou- souq » et le fait de le/la provoquer (ou agresser) est un acte (délibéré) d'infidélité. »
Une telle attitude est inqualifiable et condamnable « islamiquement » parlant. Un époux, qui s'abaisse à de viles insultes à l'égard de sa maisonnée, est indigne de ce nom. Il ne réussit qu'à perturber son entourage, ce qui n'est certainement pas propice à une gestion efficace de la cellule familiale.
Tout musulman qui se respecte doit faire preuve de cohérence dans son comportement, aussi bien au sein de sa famille que vis à vis de la société dans laquelle il évolue. Se montrer intraitable chez soi et courtois ailleurs est la pire forme d'hypocrisie. Le musulman doit être un modèle et pour sa famille et pour la société.
Le plus tragique c'est que, les mauvais époux par manque de connaissances islamiques ne se rendent pas compte de leur erreur, persuadés que le statut d'époux leur confère tous les droits. Et leur égoïsme, leur ignorance, les empêche de voir leurs injustices alors qu'ils sont prompts à détecter les mêmes injustices si jamais elles sont perpétrées sur d'autres personnes que les membres de leur propre famille