
Bassoum · 24 septembre 2012 à 21:51
Les histoires de couples ne manquent pas en 2012. Certaines finissent bien, et d'autres se finissent malheureusement en larmes, ruptures et chagrin.
Souvent nous remettons la faute sur l'homme, que nous traitons de traitre quand il trompe sa dulcinée, de menteur lorsqu'il lui a cacher une énorme vérité, de salopard lorsqu'il à profiter d'elle et de sa bonté. Mais il suffit de bien tendre l'oreille lorsque votre copine vous raconte sa mésaventure pour relever une phrase très importante, qui revient souvent chez la gente féminine : "j'ai été trop conne, trop naïve pour le croire".
La [color=#000080] naïveté revient donc très souvent dans les histoires de couples/de ruptures. L'homme peut être un énergumène sans pareil, mais la fille ne s'en sort pas mieux car la naïveté est en 2012, jusqu'à preuve du contraire : un défaut. Vous pouvez donc la blâmer autant que son ex-homme. Par amour, la femme baisse la garde, le bouclier, s'ouvre, s'investit, fait confiance, souvent une confiance aveugle. Un terrain propice pour subir ce que l'on appelle au jeu d'échec: le coup de grâce .. échec et Mat. Comme dit le célèbre adage français : "trop bon => trop con".
Etre amoureuse de nos jours signifie t'il qu'il ne faut jamais baisser la garde ?
Vivre sur le qui-vive est-ce notre sentence en amour de peur de subir tromperie/mensonges et autres trahison masculines ?
Comment réagissez vous face à cette naiveté typiquement féminine et surtout cet excès de "N'iya" propre à notre culture ?… Le débat est ouvert et vos témoignage sont les bienvenus.