Un sujet un peu délicat et j’aimerai que chaqu’une respecte l’avis de l’autre.
Les éléctions sont pour Avril 2014, on connait deja quelque uns des prétendant au siége prisidentiel, entre autre, Le président actuelle. rnQue pensez-vous de ça ? rnpourquoi il se représente alors qu’il n’est plus apte à diriger le pays ? rnQuel est pour vous le meilleur homme pour reprendre le pays en main ? Pour qui votre choix sera fait ?
Hi coquillage and girls
Pour qui voter?
pour être franche je ne sais pas encore, bouteflika se représente ok mais je ne pense pas que c’est la bonne solution, il a fait beaucoup pour notre pays ça c’est clair mais aujourd’hui il se fait vieux et malade, je ne pense pas que c’est de son plein grès qu’il se représente y’a des gens qui tirent la ficelle.
Après je ne sais pas qui pourrait bien prendre en main notre pays et à dire vrai je ne sais pas vraiment qui sont les autres candidats.
Alors si une de vous pouvez en parler un peu plus pour informer ça serait sympas même si je vais faire des recherches de mon côté.
Je viendrai demain te donner la liste des candidats.
Voila ce que j’ai trouvé sur wikipédia les candidats: abdelaziz bouteflika, mourad boukhelifa, ahmed benbitour, ali benflis, yasmina khadra, sofiane djilali, rachid nekkaz.
Rien n’est encore officiel mais voilà ceux dont j’ai la connaissence :
Ali Benflis.
Bouteflika
Rachid Nekkaz
Yasmina Khadra.
Ahmed Benbitour.
Merci coquillage pour ce topic très intéressant 😉
Comme beaucoup d’entre vous, j’ai beaucoup de respect pour Bouteflika mais j’estime qu’il n’est plus à la hauteur de la fonction présidentielle.
Après 3 mandants consécutifs et un état de santé assez médiocre, on ne sait pas si il sera capable d’assurer sa fonction.
De plus, aucune annonce a était faite concernant son hospitalisation, la plupart des Algériens ont appris la nouvelle par le biais des médias étrangers.
Ensuite concernant la liste des candidats, j’avoue que j’en connais qu’un seul qui a mon goût sera digne de cette fonction, c’est Yasmina Kadra. Cet homme est brillant dans ce qu’il entreprend et à une vision nouvelle de l’Algérie d’aujourd’hui.
Bonjour Madura, j’avais pas le temps de revenir sur le topic.
Le préssident Bouteflika n’est plus en mesure d’assurer sa foction correctement, son état de santé est assez atteint d’aprés ce qu’on voit rarement de lui, d’ailleurs depuis le temps qu’il a eu un AVC son état ne c’est pas vraiment amélioré, il se fait rare sur le devant de la scéne, Sellal est là ou lui devrait étre, donc il est temps pour lui de se retirer et dignement.
Pour ce qu’il a fait, je ne vois pas comme la plus part qu’il a fait du bien à notre pays, bien au contraire, si on parle du wiaam el madani, je pense qu’il y’avait une meilleur solution pour ça, au lieu de donner des droits à des criminnel alors que des innocent sont là, à attendre un emploi, un logemnt.
La
Pour moi, le plus apte a diriger nitre pays, c’est Benbitour, un homme intelligent et honnete, mais la question que je me pose, est-ce qu’un homme honnete ne subira pas le méme sort que Boudiaf Allah yerhamou ? est-ce qu’il y-a un espoire pour une Algerie meilleure ?
bonsoir,
inch allah coquille,j’espère que le prochain président sera à la hauteur pour gouverner un si grand et beau pays.gardons espoir.
Bonjour Coquillage. Au risque de me répéter, tant qu’il y aura toujours les mêmes personnes derrière le président, les choses ne vont pas bouger en Algérie. De toute façon, on sait que c’est un des membres du "parti unique" qui va passer.
Sinon, concernant la candidature de R. Nekkaz, je n’y crois pas trop. Déjà, j’ai un peu suivi ses interview, il veut faire pleiiiiins de choses bien mais quand il parle, on ne voit pas comment concrètement il va faire cela. J’ai du mal avec ce mec, déjà qu’il voulait se présenter à l’élection présidentielles en France en 2007…
desole de vous decevoir mais depuis quand en algerie c’est le peuple qui choisit son president? a ma connaissance jamais, je pense que l’armee a deja choisit pour nous. C’est la triste realite.
@sarah: tu ne nous déçoit pas, c’est une réalité dont on est tous convaincus…. mais il ne nous reste que notre parole et nos avis, si l’on se tait qu’adviendra-t-il? on s’exprime car c la moindre des choses, ceci ne signifie pas que l’on est dupe…. loin de là!
mais sherryfa depuis longtemps le president est souffrant en plusieurs fois il a ete elu avec des scores incroyable a l’approche du score de plus ke 90% c’est la que normalement le peuple dois reagir, montrer qu’il ya un pb, regarde l’ukraine elle mene un combat qui est presque ke le notre c’est a dire l’escroquerie, la corruption, fraude etc… Pk l’algerie ne reagis pas? Vous allez me dire qu’on a deja fais cette guerre avant la tunisie, l’egypte, l’ukraine mais il faut continuer ce combat, le peuple algerien est perdu, manipule et sans avenir, notre pays est vierge mais c’est l’arme qui profite et etranger c’est normal, au lieu de refaire les hopitaux, le systeme de scolarite ils donnent de l’argent au Fmi c’est normal, pour moi cette election est une opportunité aux algeriens de montrer leur mecontentement, de se rebeller, montrer le vrai visage de cette politique merdique et ses dirigeants.
Desole encore les filles si je vais loin, je suis tellement degoute que notre merveilleux pays sois diriger par des ingrats, des corrompus, voleurs etc…
Franchement plus je réfléchis plus je me dis que ces candidats n'ont pas les épaules assez solides pour représenter l'Algérie, aucun charisme.
Je vous laisse un article qui m'a beaucoup plu.
Election présidentielle de 2014 : notre pays mérite-t-il ce casting ?
Par Contributeur AF |
L'élection présidentielle qui doit se jouer au printemps prochain en Algérie, n'a pour l'heure, pas l'air de mobiliser les esprits. Les algériens sont ailleurs et donnent plus qu'une impression, celle d'avoir délaissé le champ politique aux seuls éditorialistes et aux « polizness ».
Seule certitude à date, il y aura bien un gagnant à cette élection et ce, quelque soit le sort du trou des urnes. Pas d'inquiétude non plus, l'argumentaire que nous déroulera le ministre de l'intérieur au lendemain du suffrage et qui légitimera la victoire du candidat devenu président, sera huilé, juste assez, pour dissiper la douleur des perdants.
Scenario classique, d'une présidentielle comme l'Algérie en a tant connue depuis 1962. Avec cette fois un paramètre bien différent de l'ère FLN ou de celle qui aura marqué la décennie noire avec ce besoin urgent d'un retour à la paix. En effet, cette fois-ci, ce qui marque les analystes, c'est bien le désintérêt, voir le mépris de la masse envers la classe politique. Sentiment prédominant chez les jeunes, de 18 à 40 ans qui, mine de rien, représenteront plus de 40% du corps électoral en 2014.
Aujourd'hui, le fossé est tel que le problème qui se pose n'est plus tellement « qui ? » mais « pour faire quoi ? » Evidement, l'élection peut très bien se jouer sans les jeunes. Ils pourraient s'abstenir et la règle du jeu étant ce qu'elle est, il y aura tout de même un vainqueur au bout du ou des deux tours.
Mais comment le vainqueur pourra-t-il gouverner ? Pour faire quoi de son quinquennat ? Concernant les partants. La liste connue aujourd'hui est bien maigre en terme de « personnalités » capables de rassembler les 75 000 signatures nécessaires à la validation des de leur candidature. Dans le désordre, nous retenons, Yasmina Khadra, l'homme qui a le don de l'écriture mais pas celui de la parole.
Rachid Nekkaz, Un inconnu qui le restera. Ali Benouari, qui imagine enrichir son CV de « candidat à la présidentielle » ou encore Sofiane Djilali qui, d'après les photos, monte mieux à cheval que dans les intentions de votes.
Nous avons aussi, Kamal Benkoussa, qui, ce coup-ci performe déjà par l'élégance de son site internet. Cet homme est peu connu et il ne le deviendra que s'il accepte de baisser l'estime qu'il se porte et d'échanger ses Weston contre une bonne paire de bottes pour aller crapahuter dans l'Algérie profonde. Il rêve de transformer la région natale de ses parents en une sorte de Kabylie-fornie et de faire de M'sila la capitale des nouvelles technologies. Cette ville deviendrait alors la « M'sila con valley ».
Un jour, il se rendra peut être compte que les idées qui naissent en haut d'un téléski de bourg Saint Maurice peuvent aussi mourir dans une zaouia près de Laghouat. A moins que cette candidature n'en soit qu'une vraie fausse pour mieux mettre en scène un ralliement à l'homme qui sera fort, deux mois peut être même trois, avant l'élection.
Il aura peut être négocié pour cela un secrétariat d'Etat. Il ne manque plus à cette liste que la candidature de Abdelkader Secteur. Lui au moins serait drôle. Car en effet, ce qui ne l'est pas du tout jusque là, c'est que ces personnes sont à la l'Algérie ce que Biyouna est au cinéma américain. Eux, qui sous un tas d'autres prétextes considèrent qu'avoir un passeport algérien suffit pour envisager de représenter leur peuple.
Nous aurons également le choix de voter pour Ahmed Benbitour. Lancé dans la course depuis trop longtemps, sa campagne a vite montré des signes de fatigue. Elle se fait plus discrète et c'est peut être mieux ainsi. Ses déclarations sur le sujet de rendre ou pas langue nationale l'Amazigh et son refus de se positionner clairement sur ce point montre au moins deux défauts :
- Un homme politique doit avoir des convictions et savoir les défendre,
- On ne va plus de nos jours s'adresser à la presse sans un minimum de préparation et sans savoir garder ses nerfs.
Peut être que dans le fond, le discours de ce candidat est bon mais la forme est à ce point désuète qu'elle en devient burlesque.
Quant Ali Benflis, voilà un candidat non encore déclaré mais dont on connaît déjà tous les détails de la campagne sans vraiment les chercher. Son entourage est déjà bavard et gâche toute surprise.
Les ralliements, les soutiens, les organisations, ils disent à la presse jusqu'à leur incapacité à orchestrer et à organiser dans les villes leurs comités de soutiens. Pour des gens qui souhaitent prendre en main la destinée de l'Algérie, ça donne à réfléchir. On sait même que Benflis fera une longue, voir très longue déclaration à la presse sans droit de relance.
« Coucher, pas bouger », vous êtes là pour m'écouter. Cette attitude porte en elle la culture d'un temps passé. Aujourd'hui, un pitch se joue en 18 minutes. Et voilà pourquoi les prestations de Bill Gates, de Julian Assange, de Philippe Starck, de Peter Gabriel, de Richard Branson ou de Frank Gehrysont visionnées par des millions de personnes sur Youtube.
Il ne faut pas que 2014 soit un rendez-vous manqué avec notre avenir. Pour cela, notre pays a besoin de prétendants capables de comprendre qu'à partir du jour où la décision de se présenter est devenue irrévocable, un candidat, doit, à chaque instant, prouver qu'il intègre l'enjeu historique de la fonction, et s'attache à se comporter aussitôt en conséquence : gagnant toujours plus en densité humaine, en bienveillance, en dignité, incarnant l'autorité tranquille, la clairvoyance, la limpidité de ses intentions.
Il devra se rendre prévisible, lisible. C'est la condition essentielle du lien de confiance. Son portrait robot serait alors celui d'un homme sage, dégagé des ambitions matérielles, objectif et impartial. Il devrait être authentique, fidèle à son histoire personnelle et qui parlerait le langage de l'effort. Sa vision du long terme concorderait avec sa maitrise de l'histoire. Il serait pragmatique, libre et saura engager sa parole. Notre pays mériterait bien un tel homme.
« Polizness » : Pour nos élus, la frontière est toujours ténue entre leur carrière politique et celle dans le business qu'il aura fallu inventer un nouveau terme.
Waël Hasnaoui
http://www.algerie-focus.com/blog/2013/12/election-presidentielles-de-2014-notre-pays-merite-t-il-ce-casting/
Message édité
j’aime ce passage:
"Il devra se rendre prévisible, lisible. C’est la condition essentielle du lien de confiance. Son portrait robot serait alors celui d’un homme sage, dégagé des ambitions matérielles, objectif et impartial. Il devrait être authentique, fidèle à son histoire personnelle et qui parlerait le langage de l’effort. Sa vision du long terme concorderait avec sa maitrise de l’histoire. Il serait pragmatique, libre et saura engager sa parole. Notre pays mériterait bien un tel homme."
mais c’est tellement loin de notre réalité que j’en ai le coeur bien lourd… en somme, il nous faudrit un homme qui aujourd’hui n’existe pas!!
Sherryfa effectivement ce passage est le portrait robot d’un bon et vrai président pour notre pays. Tu sais Sherryfa même s’il existe ils ne le laisseront pas passer et ne le laisseront même pas voir la lueur du jour !
