Soumi16 · 18 octobre 2010 à 11:24
Réjouissant, le second degré clairement revendiqué du défilé Marc Jacobs chez Louis Vuitton. Réjouissant parce que le mauvais goût affiché, jusqu'au-boutiste, extrême, burlesque, reprenant en filigrane l'atmosphère de la nuit gay new-yorkaise des années 1970. Face aux réminiscences de cette période-là (chez Tom Ford, à New York, il y a deux semaines, en particulier), Marc Jacobs pousse encore plus loin l'exercice, radicalise l'ironie jusqu'au sarcasme. Face à la vogue du beige, du fragile rose foie gras (que les délicates appellent poudre), du colorama étiqueté YSL, de l'imprimé animalier, des fleurs, des exquises seventies – explorées sous sa griffe éponyme à NY –, Marc Jacobs envoie sur le podium une série de démentis grinçants. Voir la suite en suivant ce lien : 





