Même si aucun film algérien ne figure cette année dans la sélection officielle, notre pays peut se targuer d’être le seul État arabe et africain à avoir remporté une Palme d’or au Festival de Cannes, en 1975, pour <em>Chronique des années de braise</em>, du producteur et réalisateur Mohammed Lakhdar-Hamina.
Même si aucun film algérien ne figure cette année dans la sélection officielle, notre pays peut se targuer d’être le seul État arabe et africain à avoir remporté une Palme d’or au Festival de Cannes, en 1975, pour <em>Chronique des années de braise</em>, du producteur et réalisateur Mohammed Lakhdar-Hamina.
Cette année, c’est l’AARC (Agence algérienne pour le rayonnement culturel) qui animera le pavillon Algérie n°107 au Village international, pour la quatrième année consécutive.
Dans ce cadre, plusieurs courts-métrages algériens seront présentés dans le Short Film Corner, espace d’échanges pour producteurs et réalisateurs.
Parmi eux :
Le Silence du sphinx de Farouk Beloufa : une comédie sociale de 13 minutes, produite en 2014.
N’sibi de Hassene Belaid.
Sharia d’Anouar H. Smaine : une coproduction algéro?américaine qui expose les difficultés d’un couple mixte face à leurs différences culturelles.
El Mektoub de Lamia Brahimi Belhadj : l’histoire d’une jeune femme qui décide d’aller faire un vœu dans un mausolée.
Papillon de Kamel Iaiche : un film numérique sur la vie d’un jeune homme aux prises avec le désespoir.
Le Point de fuite de Mehdi Labidi : un film numérique dont l’intrigue tourne autour de la mort supposée d’un peintre précaire, qui, attiré par l’appât du gain, se cache.
Algérie vue du ciel de Yann Arthus?Bertrand : un documentaire spectaculaire sur notre pays.
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